Cui cui
Cui cui
Maman, maman ! Cela fait très longtemps que tu es partie pour nous approvisionner en nourriture et nous donner la becquée. Nous sommes très inquiets de ne pas te voir revenir. Que t'est-il arrivé ?
Se repérer dans le chemin des airs ne doit pas être facile.
Et tu nous a dit que parfois de vilains garnements, tu sais ceux qui dénichent les nids et cassent les oeufs pour éviter l'éclosion des petits oiseaux, s 'amusaient aussi à l'aide d'une fronde et d'un caillou, à viser les moineaux qui volaient dans leurs parages. C'est là un plaisir destructeur très malsain qui nous fait redouter le pire...
Tout cela est bien inquiétant.
Et puis, et surtout, nous avons vraiment très faim...
Reviens vite maman, nous ne sommes encore que des oisillons et avons tellement besoin de toi. Cui-cui.
Ah, te voilà enfin. Quel bonheur !
* Un com. s'il te plaît *
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